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Roman
Durée : 13h 40min - (737 Mo)
« Ah ! je puis me vanter que j'en ai vu des intérieurs et des visages, et de sales âmes... Et ça n'est pas fini... A la façon, vraiment extraordinaire, vertigineuse, dont j'ai roulé, ici et là, successivement, de maisons en bureaux et de bureaux en maisons, du Bois de Boulogne à la Bastille, de l'Observatoire à Montmartre, des Ternes aux Gobelins, partout, sans pouvoir jamais me fixer nulle part, faut-il que les maîtres soient difficiles à servir maintenant !... C'est à ne pas croire. [...] »
Écouter un extrait : Chapitre 01
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Chapitre 01
Chapitre 02
Chapitre 03
Chapitre 04
Chapitre 05
Chapitre 06
Chapitre 07
Chapitre 08
Chapitre 09
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Victoria,
RépondreSupprimerUn grand et chaleureux merci pour cette lecture passionnante que vous faites vivre avec le brin de désabusement et d'insolence qui incarne si bien Célestine. J'ai souvent écouté votre version avec un intérêt renouvelé.
Ce livre est une vraie merveille. Il garde toute son acidité et sa modernité grâce au ton faussement désinvolte d'O. Mirbeau et de votre lecture. Votre voix y fait merveille et j'ai tellement été entousiasmé que je le fais découvrir autour de moi.
Pour ceux qui connaissent les versions ciné de Bunuel ou de Renoir, rien ne vaut la découverte de l'original autrement décapante (bien que Jeannne Moreau soit une interprète très convaincante).
Continuez, Victoria, à nous faire découvrir et aimer des livres que je n'aurai pas lu sans votre travail généreux. Un grand merci.
Serge
Bonjour Serge,
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire si enthousiaste ! Voilà qui est fait pour encourager la lecture.
Mirbeau est effectivement très moderne. Mordant à souhait et tellement réaliste...
Bunuel a mis l'accent sur une seule partie du roman, certainement celle qui le fascinait le plus et si bien incarnée par Jeanne Moreau.
Joyeuses Fêtes !
Très cordialement,
Victoria
C'est une excellente idée que d'avoir mis de la musique. Quel est le nom de ce morceau qu'on entend à chaque début de chapitre ? Cordialement
RépondreSupprimerDésolée, je n'ai plus les références musicales. Je vais toutefois essayer de les retrouver...
RépondreSupprimerTrès cordialement,
Victoria
C'est parfait!
RépondreSupprimerL'enregistrement est excellente. Victoria lit avec beaucoup d'emotion.
RadioTinnitus
Bonjour,
RépondreSupprimerJe viens de finir la lecture. C'était poignant et révoltant à la fois. Il faut dire que les bruitages et les musiques nous mettent dans l'ambiance. superbe. A propos, quelle est cette musique de fond lorsque Célestine parle de la mort de sa mère ? elle est très jolie.
Bravo encore
Bonjour,
RépondreSupprimerJe vais écouter le passage... pour essayer de retrouver la musique car malheureusement je n'ai pas gardé les références musicales. Je laisserai un message ici dès que j'aurais trouvé. Bien cordialement, Victoria
Il s'agit de :
RépondreSupprimerBeethoven :
Op027-02 Sonate 14 pour piano Clair de Lune Quasi Una Fantasia Alla breve do dièse mineur
01 Adagio sostenuto.
En introduction du chapitre V.
Pergolèse :
Stabat mater dolorosa
Chapitre V -
Pour Rezki...
RépondreSupprimerJ'ai enfin retrouvé la musique qui introduit chaque chapitre :
Amilcare Ponchielli - La Gioconda - La Danse des Heures
Très cordialement,
Victoria
Une formidable lecture pour un livre formidable. Vraiment ! L'analyse de la société bourgeoise est implacable, mordante. J'ai vu le film de Bunuel mais je ne connaissais pas le livre de Mirbeau. Bunuel n'a effectivement retenu qu'un aspect du livre. Merci pour cet enregistrement et pour le site. Salutations à tous, Christian
RépondreSupprimerEffectivement Mirbeau a la dent dure ! Il fustige avec humour et mordant l'hypocrisie de son époque. Merci pour votre message. Cordialement, Victoria
RépondreSupprimerMerveilleux livre audio, on passe par tous les sentiments : la révolte, la "franche rigolade" Mirbeau appelle un chat un chat..., l'émotion intense (la mort du jeune amant et la description de l'enfance de Célestine). Je l'ai écouté deux fois, je crois bien que dans quelques temps, je l'écouterai à nouveau... oui, je ne m'en lasse pas. Et quel registre de lecture vous avez, Victoria : entre Le Lys dans la vallée, et Le Journal de Célestine, tout un monde ! Merci pour ces formidables moments d'écoute. Bien à vous, Christine
RépondreSupprimerJe suis passée aussi du rire aux larmes en enregistrant Le Journal de Célestine, sans parler de la colère ! Mirbeau a donc bien réussi son pari : nous projeter à la place de cette bonne, témoin des turpitudes d'une bourgeoisie hypocrite... Heureusement qu'il a beaucoup d'humour ! Je suis heureuse d'avoir partagé cela avec vous, Christine. Très cordialement, Victoria.
RépondreSupprimerBonjour a tous et joyeux Noel a tous !
RépondreSupprimerMagnifique travail Victoria sur Mirbeau et croyez bien que je ne fayote pas. J'avais vu le film et pas lu le livre. Vous avez donné une couleur differente. C'est superbe, vraiment et les 13 commentaires confirment la pleine reussite de votre travail.
bien a tous
eric fedydurke
Merci Victoria
RépondreSupprimerJ'ai voulu dire comme j'ai apprécié les lectures de Victoria. J'ai écoute beaucoup pendant les heures que je travaille dans mon atelier. Victoria vous m'avez aidé avec la langue française et j'ai beaucoup appris. Votre intonation et votre diction sont parfaites pour cette belle langue. La lecture de Madame Bovary était le commencement, et depuis je vous ai suivi et Le Journal d'une femme de chambre était super! Merci et j'éspère que vous irez mieux bientôt
Annie - artistcanigou
Merci Victoria pour cette lecture.
RépondreSupprimerC'est réellement un pur bonheur ! J'ai passé de très agréables heures à vous écouter, entre le rire, l'émotion et la "révolte".
Amicalement
Sylvie G.